Parlons-en : Pénuries de main-d’œuvre dans le secteur du transport maritime au Canada
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Transports Canada souhaite mieux comprendre les conséquences possibles des pénuries de main-d’œuvre dans le secteur du transport maritime au Canada et aimerait également connaître votre avis sur des solutions possibles.
Contexte
Dans les dix prochaines années, 43 % de la main-d’œuvre maritime partira à la retraite, dont 52 % des officiers mécaniciens et 47 % des officiers de pont.
Il faudra embaucher environ 19 000 nouveaux travailleurs au cours des dix prochaines années, soit 68 % de la main-d’œuvre.
Les taux de postes vacants pour les officiers de pont sont d’environ 7 %, suivis de 6 % pour les officiers mécaniciens, des chiffres supérieurs à la moyenne nationale de 4 %.
Les vacances de postes concernent les postes essentiels à l’exploitation d’un navire : les officiers de pont et les officiers mécaniciens.
Comment nous faisons face à la pénurie de gens de mer
Transports Canada est conscient des conséquences possibles de la pénurie de gens de mer sur le secteur maritime et nous nous efforçons de réduire l’impact de ces problèmes.
Des accords de réciprocité ont été conclus avec l’Australie, la France, la Géorgie, la Norvège, l’Ukraine, la République des Philippines, et le Royaume-Uni, afin de permettre à Transports Canada de reconnaître les certificats délivrés à l’étranger par ces pays.
Le programme d’entrée directe (examen) a été simplifié afin que Transports Canada puisse délivrer un certificat canadien le jour même où le demandeur obtient le statut de résident permanent. Le programme évalue les qualifications étrangères d’un marin par rapport aux exigences canadiennes.
Le programme d’équivalences du ministère de la Défense nationale établit des équivalences pour donner à certains métiers de la marine des crédits en vue de l’obtention d’un certificat de marine commerciale. Nous travaillons sur ce programme avec la Marine royale canadienne et le ministère des Anciens Combattants.
Le programme de formation maritime tente d’augmenter le nombre de personnes issues de groupes sous-représentés, comme les femmes et les Autochtones, dans le secteur maritime en soutenant nos partenaires fournisseurs de formation.
Cela signifie qu’un certificat de compétence ne peut être délivré à un ressortissant étranger qui suit une formation dans un établissement de formation maritime au Canada reconnu par Transports Canada que si le candidat est un résident permanent.
Bien que nous n'entreprenions pas de révision de la Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada, la résolution de ce problème pourrait être un autre moyen d’augmenter le nombre de marins qualifiés.
Nous sommes à votre écoute
Nous voulons entendre les intervenants et le public canadien. Votre opinion et vos commentaires sont importants!
Nous souhaitons entendre :
les personnes et les groupes qui travaillent dans le secteur ou font partie de la main-d’œuvre maritime;
les associations maritimes;
le public canadien.
Comment participer
Choisissez « S’inscrire » en haut de la page et participez à la discussion sous l’onglet « Donnez votre avis ».
Vous pouvez également soumettre vos commentaires dans un document Word ou PDF en utilisant l’onglet « Soumissions ». Vous pouvez téléverser plus d’un document.
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Contexte
Dans les dix prochaines années, 43 % de la main-d’œuvre maritime partira à la retraite, dont 52 % des officiers mécaniciens et 47 % des officiers de pont.
Il faudra embaucher environ 19 000 nouveaux travailleurs au cours des dix prochaines années, soit 68 % de la main-d’œuvre.
Les taux de postes vacants pour les officiers de pont sont d’environ 7 %, suivis de 6 % pour les officiers mécaniciens, des chiffres supérieurs à la moyenne nationale de 4 %.
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Des accords de réciprocité ont été conclus avec l’Australie, la France, la Géorgie, la Norvège, l’Ukraine, la République des Philippines, et le Royaume-Uni, afin de permettre à Transports Canada de reconnaître les certificats délivrés à l’étranger par ces pays.
Le programme d’entrée directe (examen) a été simplifié afin que Transports Canada puisse délivrer un certificat canadien le jour même où le demandeur obtient le statut de résident permanent. Le programme évalue les qualifications étrangères d’un marin par rapport aux exigences canadiennes.
Le programme d’équivalences du ministère de la Défense nationale établit des équivalences pour donner à certains métiers de la marine des crédits en vue de l’obtention d’un certificat de marine commerciale. Nous travaillons sur ce programme avec la Marine royale canadienne et le ministère des Anciens Combattants.
Le programme de formation maritime tente d’augmenter le nombre de personnes issues de groupes sous-représentés, comme les femmes et les Autochtones, dans le secteur maritime en soutenant nos partenaires fournisseurs de formation.
Cela signifie qu’un certificat de compétence ne peut être délivré à un ressortissant étranger qui suit une formation dans un établissement de formation maritime au Canada reconnu par Transports Canada que si le candidat est un résident permanent.
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Partager La Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada définit qui peut détenir un certificat de compétence. La portée actuelle de la Loi limite-t-elle notre capacité à réduire l’impact de ce défi? sur FacebookPartager La Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada définit qui peut détenir un certificat de compétence. La portée actuelle de la Loi limite-t-elle notre capacité à réduire l’impact de ce défi? sur TwitterPartager La Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada définit qui peut détenir un certificat de compétence. La portée actuelle de la Loi limite-t-elle notre capacité à réduire l’impact de ce défi? sur LinkedinCourriel La Loi de 2001 sur la marine marchande du Canada définit qui peut détenir un certificat de compétence. La portée actuelle de la Loi limite-t-elle notre capacité à réduire l’impact de ce défi? lien
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